posté le 21-05-2006 à 13:37:51
posté le 19-05-2006 à 10:13:21
{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}{Emotic(jump)} {Emotic(hammer)} {Emotic(sperm)} {Emotic(chainsaw)}
posté le 18-05-2006 à 23:36:38
http://cecile_richard.vefblog.net/
posté le 18-05-2006 à 23:34:31
http://cecile_richard.vefblog.net/
posté le 16-05-2006 à 20:47:17
les simagrées,
les simagrées de chieuse trouillarde chieuse la merde à ouvrir la bouche non lui donner les mots à la morgue non mots froissés confettis ne pas y revenir ne pas toucher ne pas exposer
tant les cordes vocales compressées en non le seul est non est la retenue non l'ouverture dégueule non un mugissement l'eau de moi non les litres en lacrymales la vache le lent déplacement lors non l'absence de l'aimé le hurle en litres de merde non à déchirer le rien le creux non plus rien même ne résonne en substance non c'est quoi l'utilité d'être là non à préparer le funeste le funeste non le tout lâcher pour ça le tout lâcher pour chuter encore chuter en la merde non de rien le ne plus rien ne me demeure non la démesure ridicule non dormir est un souhait si ce n'est aller à la poissonnerie et mater la saison deux la saison trois la saison de vingt quatre chrono en anglais et non oublier le rien oublier le choix qu'il a fait non oublier dormir en finir avec le rien (son talent à ça t'ouvrir magnifique) on va bien en tirer encore non la chose close non prière de m'ouvrir en douceur non la délicatesse non une paume sur mes lèvres non me taire un corps contre non pour oublier la gamelle non la gamelle le lait et plus personne là plus personne non rien à prendre il n'y a plus personne si on veut la brasse plaie mes mots mes mots mes cordes venaient de sa chair plissées
sur sa peau mes mots de l'amour en train de /non/ est rupture non est cet
impossible non dépassement de la chair impossible l'effondrement généralisé
de l'être non et cette absurdité non à faire cette absurdité me colle peau acide mélasse du faire non du chercher que je ne saisis hors
la présence la présence certaine l'évidence d'être non là en public l'autre non ---tiptiptaptaptiptagatap... talontalon pointe talon entrechat--- bac b / bts de commerce international / équivalent en licence de communication internet et externe en entreprise / la grande vie des amoureux tout ça qu'est ce que je suis allée foutre là entre deux entre quatre un classique un bordel d'amoureux stop ça va le faire la fatigue ne se mesure pas l'érosion de l'autre dans l'effondrement les éboulis la soupe terre sous les ongles croutes se retenir à croche le sol crampe la plante des pieds crampe le sol une donnée incomplète gorge en faillite brassée sous maelstrom mental ce qui rassemble en apnée la composition à l'arrache version gouffre émotionnel putain je
savais pas ça ce que ça faisait ça une rupture en rupture du ne plus rien que le cri le cri est ce qui retient mon souffle à coups de pieds contre murs ce qui s'écrit dorénavant autour des failles et hurlements entassés à enregistrer là pour ne pas chuter avec elle je la regarde s'accroupir au bord du trottoir tête entre baver sur ses genoux au monde non le digéré en mode voyage temporel saccadé looping exponentiel la laideur à se petite creuse asséchée à force de rétrécir nous nous écrasons plus rien à valider et nulle et nulle et une totalité égale à et comment
sortir à quelquechose de
sortir les dérapages au quart de tour mille morceaux avec ou sans fracas au choix plutôt avec penser à finir touche toucher légèrement sexy surtout vulgaire et foncièrement amatrice et te pourris la vie
pourris la vie de sa famille alors mince fuclk à tout ça la vie le
reste demain matin demain matin la minuscule merde au fond le long des
marche marche des escaliers une envie de signer
Commentaires