clair qu'écrit comme ça ça fait le mec oui taré saoul vulgaire lourd le bon pote à clair qu'écrit comme ça ça fait les mecs qui profitent goujats machos égoïstes encore garçons à gentille maman ptite soeur qu'à leur tête tout le clair qu'écrit comme ça ça fait moi je subir éponge passive marie et pardonne et plein la gueule tous l'air de clair qu'écrit comme ça en fait tu sais toutes ces histoires d'amour et d'écriture d'amour à l'écriture reliées et réciproque éditées au fond là dedpuis ,,, ça me fout la nausée de tout ce qu'on peut croire de méchant de l'autre de soi etc j'en ai marre des retours des retournements je voudrais tant une ligne un plein vécu et c,est tout une ligne épaisse sans boucle sans regard je m'allonge avec lui et c'est tout
et c'est tout
souvent pour entendre je me fous sous empathie, j,essaie de vivre la chose et je crois qu'en ce moment je suis trop sensible pour ça donc en réaction mon corps morphine glisse c'est étrange ce rapport coton au monde le ciel en couchant était magnifique ce soir lumière vive à certains espaces pierres nuages gris ombres vert doré des feuillages...
je sens bien comme avec parfois les mêmes mots il y a comme une zone où ces mêmes mots ne renvoient pas aux mêmes sensations vécus dimensions...
là non plus j'ai pas envie de parler français (dans le sens où on me dit c'est comme ça qu'il faut) et j'en ai rien à battre si personne comprend (et je sens bien que certaines choses sont comprises senties c'est intéressant d'ailleurs après coup de voir qui a pris quoi comment) merde je veux bien disparaître comme laure par exemple s'il le faut pour rester libre à crever je dis pas que les autres ne le sont pas je dis que pour moi il me faut passer là comme
cette boucle sempiternelle ma vie est courte, que je dépense ce qu'il me reste à trouver qui oeuvre au "semblable j'ai besoin de confronter mon expérience à qui oeuvre au semblable tant en ce moment j'ai cette impression soit d'à force élaguer salir laisser vivre de donner dans l'amateur craignos type cracheur de feu visite du squat rivoli soit aveugle pommée tarte crétine débile et,ou s'il me manque si ce qu'il me manque fait corps par exemple avec ce que je donne laisse (par exemple ce qu'il manque comme plein) ou si ...
la ligne dont tu parles, hors retour hors édition hors retournements etc: je crois je tente un truc dans le genre en expulsant la narration de mes textes, en la faisant être direct live dans mon corps occupé à écrire, mon texte occupé à s'écrire désigne mon corps occupé à écrire mon texte, désigne la ligne de mon corps qui sait pas où il va, où elle va
et donc là alors l'écriture devient le tracé du corps qui avance genre à l'aveugle sauf que yeux ouverts et sens à plein pot, mais à l'aveugle dans le sens la mort dans la vie pour s'offrir à la vie, s'offrir en forme nue à la vie,
ça me donne à penser, à penser aussi le cash trash du coup que nous sommes susceptibles de parfois si durs
je sais pas si jy arrive la mort dans la vie tant jai une trouille infinie de ça la mort pute de merde ça me tue
toi par contre fatche comme tu vas loin dans ton écriture comme pfff main au front essorer la sueur suspensions
sur scène il ya qqch de moi qui me dépasse des choses hors moi que je laisse être et que je ne désire pas maîtriser diriger qui ne m'appartiennent pas que je ne désire pas expliciter juste oui vivre sans forcer, pour le reste je me débarrasse en traits épais drus bourrés de et j'aime assez ça aussi la gadoue tracés du corps de l'espace rapport au public,,,
toi vif argent, ça aussi une sorte oui de lumière si vive audelà du blanc brûle neige carbonique _smile
Pinpin aussi, ce qu'il aime faire, sont truc à lui, ben c'est prendre des bains l'après-midi, puis s'allonger tout nu sur le lit. S'étale comme la grenouille vertébrale sur matelas : Grenouille-laboratoire, ouais tu sais, celle kon les trafikote avek des tubes partout, pis kon formol'poubelle. Ben si tu sais bien, tu peux pas savoir pas tout l'monde le sait le truc de la Grenouille que le doc il lui faut l'électrode et puis qu'après aussi si c'est pas l'doc c'est l'autre là-bas, le prof de bio qui biologise et puis qui biologise tout l'monde et puis que même pas mal, non même pas mal d'adord, rien à foutre de tous ces trucs à la con, rien à cirer de toute cette merde, et Machin qui biologise Bidule, et Bidule qui charcute Zinzin, puis Zinzin qui scalp' l'autre et : MERDE ! RIEN A FOUTRE !
Bon… Me suis emballé(e)…
Ben quoi, j'ai l'droit non ?
M'EMBALLE SI J'VEUX :YES ! Puis je m'en fous ! Le biolocide planétaire ? Refus d'obstacle, je cautionne pas. Moi c que j'veux c'est Pinpin, c'est faire lé tétards dans les yeux ; c'est vivre la bande à Pinpin : BORDEL KON ME FOUTE LA PAIX, KON ME LAISSE TRANQUILLE. VEUX PAS BIOLOGISER VEUX FAIRE BIP. VEUX FAIRE GROS BIP SPECTACULAIRE GROS EN SECRET DEDANS TOUT MOI QUE CA ME FASSE DES BOULES D'AMOUR ET PUIS QU'CA BIP DE PARTOUT, PARTOUT QUE TOUT L'MONDE BIP BIP BIP BIP
BIP
PARTOUT DES BIIIIPPPS : SPECTACULAIRE !
UN BBIIIIPPP
INTERGALACTIQUE
Voilà, suis calmé(e).
Bref, Pinpin, ce qu'il aime faire, , ben c'est prendre des bains l'après-midi, puis s'allonger tout nu sur le lit. D'abord le bain le prend très chaud rapport à c'que le savon liquide à la patate, ben le savon-patate ben ça mousse plus mieux fort avec de la chaude température qu'avec de la pas chaude. Ensuite, Pinpin dans la baignoire, fait un peu l'otarie de mer : Bouge jusqu'à mettre de l'eau partout, l'en faut absolument de partout-partout-partout de la flotte cause que sinon c'est pas un vrai bain. Puis les zéklaboubulles c'est sympa, ça fait d'jolis bruits, puis toute façon si tout est trempé y compris la serviette, ben c'est pas dramaturgeant vu qu'des serviettes de bain y en a plein le frigo, l'étagère ou la commode. Puis même si y en a plus, ben reste les draps du lit alors bon : Pinpin l'a bien raison de se zéklabuller. Voilà. Après aussi, son bain Pinpin ça l'met d'bonne humeur : Et révasse, et sourit ,béat, au canard jaune en plastique qui flotte. Parfois se dit : Oh ! Pinpin a ton âge, avoir un canard jaune en plastique qui flotte, ça fait pas très sérieux. Puis y a une autre tit' voix qui dans sa tête fait : Ih !! Ih !! Ih !! T'es génial Pinpin !!!
Toute façon son canard-le-jaune-qui-flotte ben peut pas l'abandonner d'aBBord, peut pas l'faire non, cause que c'est sa mamie qui lui a offert quand l'était petit. Euh… Pas tout petit-petit, même un peu beaucoup grand, mais bon ça vient de sa mamie et lui il y peut rien si la mamie elle est un peu sénile ou qu'elle l'est pas d'ailleurs mais qu'elle le regarde toujours avec ses yeux-grand-mère alors elle le voit comme un tit bébé qui fait hareuh-hareuh et qui rote après sa soupe de légume. Ben oui, même s'il rote plus Pinpin, ben pour sa mamie se s'ra toujours le 'tit bébé qui rote sa soupe de carottes : D'où canard-jaune-qui-flotte et , grenouillement couillon, Pinpin, non : Pourrait pas l'noyer son canard, ni même le ranger dans une malle.
PASSSS.
Donc y a bain chaud, eau partout, canard-jaune, puis y a aussi qu'Pinpin il fait des bulles avec savon-patate-liquide. Et ça , c'est toute une procéduration très procédurative. D'abord, s'humecte sufiisamment les lèvres, mais pas trop quand même, puis se savon-patate dessus. Après fait un rond de sa bouche, un joli rond comme pour dire OUI ! Tu sais le genre de joli OUI qu'on dit touts dans la tête quand on pense très très fort : OUI OUI OUI !! Oui embrasse-moi je t'aime !! Alors fait ce grand Oui de toute sa bouche puis met le filet d'air dedans, l'air tout léger qu'on a aussi dans les poumons quand on dit : OUI OUI OUI OUI bien sûr que je t'aime !!!
Et HOP HOP HOP, y a trois bulles qui s'envolent des lèvres de Pinpin !! Alors là l'est content Pinpin tu sais, et lui ça l'fait partir loioioinnn-loioioioinnnn, les bulles…
Plus tard, plus tard après, quand c'est qu'il a bullé tout le savon-patate-liquide, Pinpin il sort de la baignoire. Se sèche à peine, puis ça y est, c'est là qu'il va se grenouillécarquiller sur le lit. Là alors, Pinpin, Pinpin d'un coup soudain dans la plus grande soudainité, Pinpin même ses os deviennent tout mous tellement qu'il est détendu. Et là alors,
Pfffffffff… Vois franchement pas comment j'pourrais bien l'expliquer la façon qu'il a d'se détendre… Immobile dos-matelas, sourire idiot-visage, il voit encore les bulles qu'il faisait dans baignoire. Puis les bulles dans sa tête alors, ben maintenant il les peint. Il peint des bulles d'amour dans sa tête puis les envoie à ses copains Pinpin : L'envoie des bulles, des BIP d'amour : A Lulu, àToto, Eddy(th), Ariane, Julien, Lolo. L'envoie des bulles à canard-jaune et puis aussi à sa mamie
Pinpin ? Pinpin c'est avant tout une histoire de bulles !
Pinpin, Pinpin aussi, parfois plaque tout l'monde. Salaud parfois l'Pinpin. Pas forcément très fier de l'être mais bon, ça lui colle aux tripes, à lui aussi, cette envie redoutable : TOUT PLAQUER. La dernière fois ; ça lui est venue comme ça, genre de crise d'égo implacable : Et BING l'a planté une nana qu'il voulait aimer mais qu'il savait pas, puis c'est compliqué, à quelle place la mettre, et puis comment faire, quoi organiser : BORDEL TOTAL. Ca bouleversait trop tout ça. L'aimait la fille, ouais, mais d'une façon que d'habitude il avait pas. C'était une drôle d'histoire toute tendre, qui venait leur faire douceur, et puis, qu'ils savaient pas tous les deux, Pinpin et la nana, d'où que ça leur venait ce drôle d'amour-là. On aurait dit deux mômes. Ouais, faisaient rien. Pas grave, se parlaient, se riaient, se… C'était chouette. Puis, Pinpin l'a plaquée : Plaqué sa 'tite allumette. Sûr qu'après l'est allé voir Totoine cause que quand même, après avoir sillonné trois heures les rues de la cité, ben au bout de trois heures de bitume, l'avait la tête farcie et ça lui plaisait pas, mais alors pas du tout comme farce. Donc comme que forcément, Totoche, c'est la bonne personne pour causer, ben Pinpin, l'est allé lui rendre la visite très causante de quand l'a b'soin d'causer. Quand il est arrivé chez Toto, Toto réparait sa mobylette pour les cagettes de A.RI.CO. L'était sacrément en colère lui aussi, Toto, cause que sa mob', ell' bylettait plus. Alors tous les deux, z'en ont eu dans le marre de vouloir faire KèKchose que zyarrivaient même pas. Fallait qu'ils réactionnent.
Totoine il a dit '' On va boire un verre ?''
Pinpin l'a r'pondu ''On va boire un verre.''
C'est presqu'un peu pas différent c'qu'ils zont dit mais c'est quand même pas très pareil non plus.
Bref.
Après, après Toto l'a dit ''On prend ta voiture, ma mob' ne bylette plus?''
Cette fois Pinpin l'a pas répondu, mais l'est monté dans sa turette et l'a ouvert la porte à Toto. Sont allés au bar, l'était 19 heures. Totoche parlatait mobylette, Pinpin repensait à la fille. A 23 heures Toto, l'avait réussi à troquer un joint d'culasse contre trois caisses de A-RI-CO ! Exit le souci mobylette ! Pinpin lui,dans sa tête trop d'pensées : Ca l'infernalisait. A deux zeures la matine, l'en pouvait plus Pinpin d'avoir plaqué minette mais quand même ce soir là, l'était salaud Pinpin. Lors l'a dit à Toto : Toto, appelle la fille.
A deux zeures la matine, la fille elle dormait, Toto l'était bourré. Lui a fait l'coup de l'exorciste avec une grosse voix qu'elle a cru voir la mort au bout du fil la fille : Même qu'elle a pas pipé un mot : GLOUPS ! Avalation de la parole. Et l'autre, au bout du fil continuait de sa grosse voix à s'imaginer dans l'militaire, saoul comme le vide, Totoine il hallucinait pas qu'un peu, puis continuait avec sa grosse voix et tous les bruits d'la nuit avec, il disait des trucs tout plein comme avec haut parleur dans la voix, mais même quand même, pensait rassurer la fille pis tout arranger pour Pinpin. L'a raccroché toujours bourré, l'a dit : T'en fais pas Pinpin, a tit'allumette elle est raid'dingue de toi, TOUT VA BIEN !
La fille dans son lit, terrorisée qu'elle était :
PUTAIN C'ÉTAIT QUOI ENCORE CE TARÉ DE MERDE !
Pinpin quand même, cinq minutes plus tard l'a demandé : Eh ! Totoine, mais elle allait bien ? Qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
Toto a haussé les bras : J'en sais rien. 'Fin si, elle a rien dit, j'krois bien qu'elle avait pris des cachets en fait.
MERDE C'EST LA CRISE ! PINPIN SOUDAIN SE DÉSALOPE, PENSE AU SUICIDE, A LA MINETTE, A COMMENT QUE C'EST QU'ILS S'AIMENT, A QUEL CONNARD : L'AVOIR PLAQUÉE.
Le lendemain.
Le lendemain, Pinpin, plus salop dutoudutoudutou. Pinpin le cœur en artichaud, se trouve merdique. Ca arrive aussi à Gros Couillon de se merdiquer beaucoup, mais çà, ben ça rassure pas forçément Pinpin sur l'moment. Veut défâcher les choses mon Pinpin d'amour. Alors prends le T. Phone… la fille elle lui répond. Lui il sait pas quoi dire. La fille elle raccroche. Lui il retéléphone. Elle prend un bout du fil, et lui Pinpin, à l'autre bout, avec ses yeux il fait un concert de grenouilles. Mais la fille elle le voit pas ça, les yeux grenouillés-Pinpin, puis d'abord elle est pas dispo, elle est pas dispo d'aBBord pour les batracien's songs.
Grande pause méditative.
Au T-HE-FON, des BLANCS-NEUROLEPTIK.
Pinpin, Pinpin il prend sa saloperie dans la gueule. L'en mène pas large, et puis tu vois, oh que oui je sais qu'tu vois bien, tu peux pas ne pas voir comment qu'il s'trouve Pinpin : Pinpin, Pinpin il se sent moche : TOUT, MOCHE. Y a sa voix du dedans qui lui : Mais quel con ! Quel con ! T'es le dernier des crétins Pinpin ! Et puis, et puis sait plus quoi faire. Voudrais chialer mais ça fait nul, alors chiale pas Pinpin, chiale pas non, s'effondre petit à petit et se sent , ben bien sûr que tu sais, se sent gros couillon. Gros couillon d'avoir penser qu'à sa pomme puis d'avoir pas pu faire autrement, gros couillon de ne pas avoir pris, un peu pris le temps de réfléchir, comme d'habitude, avant de dire des choses brutales, avant d'avoir plaqué la fille sans même comprendre qu'il y tenait. Et là, les grenouilles dans les yeux : Ca l'emmerde. Sont des grenouilles à grandes dents et qui lui picorent la cervelle. PICOTI PICOTA PICOTI PICOTA. Merde c'est cuisant comme raffus, elles bestiolent sévère cette fois les grenouilles. Puis tout couillon qu'il est, Pinpin alors, ben il craque. Y a son sang qui l'emporte. Alors parle à la fille lui dit n'importe quoi, lui dit comment qu'il l'aime et comment qu'il sait plus où c'est qu'elles vont les choses, comment c'est que ça s'fait que les choses le débordent ? Puis qu'il a peur aussi, qu'il a jamais eu peur autant, et que parfois aussi, parfois à lui aussi, ben y avait des bugs dans son courage. Dit à la fille aussi que… Mais là la fille elle lui coupe la parole cause qu'elle a peur qu'il fasse de l'apoplexie Pinpin, elle se dit la fille qu'un Pinpin comme ça qui s'déroute , qui se sent tout couillon partout, ben elle se dit que oui, oui bien sûr , un Pinpin gros couillon c'est fragile, ça peut aller dans la crise cardiaque. Alors, elle calme le jeu elle aussi, oui tu l'sais toi aussi, tu le sais bien qu'elle calme le jeu, tu l'sais bien comment que c'est qu'elle a pu prendre une baffe en voyant Pinpin tout nu dans l'honnête, ça bouleverse en plein l'honnête, hein, hein que tu l'sais ça, que l'extrême honnête c'est d'une bouleversitude inouïe. On en dit jamais rien de tout ça, de ces baffes-là qui nous gros couillonne, mais bien sûr que face à face avec l'honnête, bien sûr que la fille, elle a calmé le jeu. Elle a même fait une blague à deux balles histoire d'avoir un peu d'recul, mais en vrai, en vrai dedans elle : total perdue. Ouaip elle aussi pareil : DÉBORDANCE. Puis là, là tu vois, y a eu un d'ces moments très kon-peut-pas-les-définir-mais-kils-sont-très-reconnaissables, un moment comme ça où y a plus rien à dire cause que la boule d'amour est pleine, un moment ou les choses elles sont trop pires qu'intenses et qu'alors c'est possible de s'permettre de tout faire; 'fin tu vois quoi : Ben à ce moment là, pile-poil, ensemble, Pinpin, la fille, zont chialer, puis c'était bien là, qu'ils chialent.
Plus tard la fille, plus tard Pinpin, zont papoté plus léger. Zont même rigolé et tout et tout, zont papoté jusqu'à faire remonter la taux de couillonnance mais pas la couillonnance ou tu t'sens seul et con, non non non pas celle-là de couillonnance mais celle ou que ça va, tu lâches prise beaucoup tu t'laisses aller à faire des BIP, des couleurs et des bulles.
L'après midi, Pinpin l'avait son allumette et les yeux qui chantaient grenouille.
Commentaires