VEF Blog

Titre du blog : BAD TRIP
Auteur : bad-trip
Date de création : 21-03-2006
 
posté le 28-04-2006 à 21:41:57

II


<blockquote>en mai pourquoi elle lui à sa guise gré seul jusque etc en juin toutes les autres filles les filles en paquet en fait tu veux tu voulais tout toutes ou elle ou elle ou elle comme cette distance en juin lorsqu'il voulait danser avec elle à froid me refusant froid les comparaisons leurs fesses les miennes leurs seins les miens comme comme comme en avril comme j’aurais dû lui demander ce qu'il voulait dire au lieu de cela ça me revient maintenant je ferme ma gueule pour ne pas lui déplaire je ne veux pas dire que je crois j’aurais adoré aimer quelqu,un,e d’autre avec lui comme il me montre d'autres garçons comme je croyais qu'il était là je te sentais là en mai comme l,impression sa jalousie les mecs sexy ou intelligents sa jalousie de eux et pas d’une relation entre eux et moi et bordel ça me fait objet et je sais bien que c,est des conneries tous ces chemins de pensées là tels d'avoir vu son visage fondre au sol lui s'effondrer de mais j,en fais quoi moi de tous ces signes comme les jeunes filles et comme il regardait cherchait les filles en se masturbant dans la mer filets de sperme à la surface et sous si beau lui qui part et moi je le regardais comme je te regardais regardant et il me présentait des garçons à repenser en vrac sans distinguer pour l,instant je ne sais pas ce qu’il se dégage de ça à part oui le vomis tel quel vomis

les informations en provenance d'antoine+boute sont contradictoires
bug

nos corps à l'écart ou que tu m,embrasses que je te suce ou que le lendemain de tu me pénètres

ta pute
brimée
de tous les gestes que je pourrais vers toi

son sperme dans mon vagin après un sms genre ouvre ta viande j'arrive son sperme à lécher par le prochain l'amant prendre amant pour commencer à effacer la trace de son corps en mon corps

que nous allions voir ailleurs ensemble
triste
d'inaccompli

je cours avec toi
ce sont ces corps partagés mêlés à un moment indissociés de me donner toute entière tout simplement
non pas une obsession
l'amour
seulement l'amour
de toi

je suis nulle et après
authentique rien pour avoir répondu à tant de désirs d,hommes en quelques mois, où mon corps et moi sommes influencés par un,e inconnu,e
m,en foutre pas mal du je dans mon écriture et le malmener ou bien mener lui faire subir tant
alerte

me toucher te lire
où le sexe fond l,identité à l,endroit du lâcher de soi

la haine oui des refus de l'incompréhension
je retiendrais mes élans
boxe next time ou quoi next time
le trou de ça

à m'inscrire poser le toucher lui me
ce n,est pas parce que j,écris le trou de moi déchirement plaie rouge que je ne prends pas en compte sa douleur
ce n,est pas parce que j,écris connard que je ne prends pas en compte ma connerie
à moitié maîtresse à moitié
j,irai je suis allée je vais voir ailleurs j,ai appris à faire l,amour en aimant sans être amoureuse grâce à lui cela morbides exploits
c'est parfois ce détachement cet à moquer et encore cette prédisposition entretenue pour les décalages qui du glauque de l'écoeurement et de la fascination du morbide en lui je sentais aussi en le lisant ce trouble à détruire ce qui lie à dans son écriture et à cette époque là c'était tout joli le paradis tiens est perdu il repassera par là

le dimanche la forme de la verge de l'amant imprimée en bouche je l'intime la déformer par la sienne, soit dans sa bagnole son cuir pardessus visage, garés là juste là comme ça, une petite urgence
mince

la douleur à l,entendre aller ailleurs
le dissocié le dissocié me tue
quelque chose de corrompu
lui plaire

j,aimerais effacer effacer en caresses effacer comme dans les films l,effet spécial il faudrait que  je retrouve l'utilisation de l'apostrophe que j'arrive à me défaire de cette habitude d'un clavier qwertz de la virgule qui remplace

ne pas l'avoir blessé traumatisé ne pas l'être cette déchirure mort lorsque
le switch est en toi
depuis cinq mois cinq mois c,est long et avant ils n,ont fait que se cogner
réfléchir dans le sud

je t'aime à en crever chier à comprendre la perte un pan de soi dont

modèle une relation décalée une relation autre au monde etc, est ce que ça n'est pas nier ce qui fait me refuse tout de moi hurle douleur de ça cette perte ce
te voir te fermer lorsque ce rapport charnel détaché prostitutionnel
quelquun qui efface tout cela
antoine boute je te vous aime
c'est bien
sale pensée
que foutre du thé vert dans mon système digestif

-
un mec ou deux pour m,aimer, me battre, selon
un corps autre à chaque fois autre comme venant d,ailleurs et non pas autre comme nouveau

une balle ricoche contre
traîner avec des mecs louches


un ou deux cachets
dormir une semaine

nous sommes les bombes de l’autre de nous mêmes
nous nous foutons de la h bombe avec nos langues claquées palais femme refusée hop un ptit tour côté médée le poison de nous


very bad copy miss very bad
</blockquote>
on s’appelle tous antoinetteah ouais et ta bite aussi elle s’appelle
 

Commentaires

t. le 30-04-2006 à 21:32:31
C.S.M. ! ouais, moi j'aime quand il faut chercher entre les mots (maux) phrases, là où il n'y a plus de ponctuation, définir une situation :

c est pas gagne le resultat est autre et vive l esprit s il en reste

j ai ainsi lu Histoire de Claude Simon ardu rien pas de point point virgule virgule trema ni meme de majuscule il me semble excercise total poue nos meninges oui oui